Prévenir et guérir la dépression post-partum

Beaucoup de nouvelles mamans ressentent après l’accouchement ce qui l’est coutume d’appeler le baby blues, forme de dépression post natale bénigne. Celle-ci inclue généralement des sautes d’humeur, des pleurs, l’anxiété voire des difficultés à dormir. Le baby blues commence généralement dans les deux à trois premiers jours après l’accouchement. Certaines nouvelles mamans éprouvent quant à elles une forme plus sévère et de plus longue durée de dépression connue sous le nom de dépression post-partum.

Rassurez-vous, la dépression post-partum n’est pas un défaut de caractère ou une faiblesse. Davantage une complication suite à l’accouchement. Un traitement adapté vous aidera à gérer vos symptômes et vous faire profiter le plus rapidement possible de votre bébé.

Dépression post-partum : un symptôme rampant ou dormant

Après la naissance d’un enfant, certaines femmes ont de la difficulté à connecter avec cet inconnu et le lien avec l’enfant est à construire. Il est extrêmement important d’intervenir précocement face à un lien qui ne s’établit pas. On pense assez rapidement au développement du cerveau de l’enfant, qui comme les neurosciences nous le confirment, se modèle en fonction de la proximité ou de l’éloignement de la personne référente, qui le plus souvent est la mère. En tant que maternologue à Paris, je vous propose de suivre une démarche thérapeutique propre à ces difficultés maternelles.

La dépression post-partum touche une maman sur quatre après la naissance et se déclare après le 13ème jour de la naissance jusqu’au 3 ans de l’enfant. C’est souvent un symptôme rampant ou dormant, où l’entourage, voire la maman, se persuade que c’est de la fatigue et que ça va passer. Comme expliqué, cela peut souvent être lié dans un premier temps à un baby-blues.

Quels sont les signes et symptômes d’une dépression post-partum ?

La maman ressent souvent un sentiment d’impuissance et de culpabilité. Elle est, par ailleurs, épuisée, malheureuse, pleure beaucoup, se retrouve seule ou s’isole et a une angoisse d’être prise dans une situation sans issue.

Il est encore ici très important d’agir précocement pour ne pas laisser traîner les jours et les mois avec un état qui a une répercussion sur le nouveau né aussi. La connexion de l’enfant et de la mère se joue dans les premiers jours et semaines après la naissance et ceci est démontré avec l’avancée des neurosciences.

Il est important de venir parler à un professionnel de santé mentale avant de s’effondrer dans une fatigue dont il est parfois long de sortir. N’attendez pas pour une consultation qui n’engage qu’un rendez-vous.

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